Habituez-Vous Au BonheurDieu a dit:
Le bonheur dans le monde relatif est une habitude. Le malheur l’est aussi. C'est une habitude d'esprit, une habitude de pensée. Les habitudes peuvent être recréées.
Le malheur n'est pas un état d'être, bien-aimés. Le malheur est totalement opposé à l'être, bien-aimés.
Envisagez le malheur comme l’habitude de se ronger les ongles. Vous pouvez arrêter de vous ronger les ongles. De la même manière, vous pouvez arrêter vous dire que vous êtes malheureux. Le sentiment de chagrin est une aberration. Vous n'en avez pas besoin.
Il ne s’agit pas de parler de vous-même dans le bonheur. Une fois que vous arrêterez de vous sentir malheureux, le bonheur prendra le relais. Je veux dire le bonheur en tant qu’équanimité. Le bonheur sera juste là. Il ne sera pas dépassé ou recouvert plus longtemps par le malheur.
Quand quelque chose de malencontreux se passe, cela vous rend malheureux, troublés, inquiets. À ce moment-là, cela semble être la seule manière de vous sentir. Mais qui dit cela? Qui a dit que l'événement doit emporter votre état d’Être appelé bonheur? Peut-être que vous avez pensé au bonheur comme être ravis. Vous n'avez pas à être joyeux pour être heureux. Le vieux simple bonheur constant est suffisamment bon. Il est très bon en effet.
Remarquez votre joie. Mettez sur elle l'attention que vous avez mise sur le malheur. N'avez-vous pas tourné le malheur dans tous les sens? Vous ne l'avez-vous pas disséqué et donné toutes les raisons pour lesquelles vous ne pouvez que vous sentir malheureux? Et pourtant, plus tard, le bonheur revient, même quand la cause apparente du malheur n'a pas disparu.
Bien-aimés, habituez-vous au bonheur, le bonheur facile agréable qui reste avec vous comme un ami loyal qui tient à côté de vous, même dans la difficulté. Si vous perdez votre argent, vos amis sont avec vous. Votre ami ne fait pas va et vient. Votre ami a attesté son amitié, et c'est comme ça. Quoiqu’il se passe, votre ami reste avec vous.
Le bonheur ne peut-il pas être un tel ami?
Je vous dis que le bonheur peut être un ami fidèle. C'est vous qui oubliez votre ami bonheur. Vous devez penser que vous ne pouvez pas l'avoir. Le bonheur est parfaitement heureux de rester avec vous.
Et vous dites: «Comment puis-je être heureux quand j'ai perdu mon travail, j'ai perdu ma maison."
Je dis que vous pouvez être heureux lorsque vous avez perdu votre emploi et vous avez perdu votre maison. C'est facile. Tout ce que vous avez à faire est de penser à ce que vous avez et que vous pouvez faire et ce que vous pourrez trouver.
Ce n’est vraiment, vraiment pas ce qui se passe qui vous rend malheureux. C'est ce que vous vous dites que signifie ce qui c’est passé. Vous interprétez d'une manière qui ne peut que vous faire amener le malheur en face, en plein centre.
Perdre son emploi est une chose. Peut-être que vous ne le vouliez pas de toute façon. Néanmoins, le fait que vous n'ayez plus votre travail ne signifie pas toutes les autres choses que vous pensez peut-être que cela signifie. Cela ne signifie pas que vous n’en trouverez jamais d’autre. Cela ne signifie pas que vous êtes un échec. Même si vous avez été licenciés, cela ne signifie pas que vous êtes un échec. Qu'avez-vous raté, bien-aimés? Vous ne pouvez rater la vie. Vous n'êtes pas infaillibles, mais vous ne pouvez rater la vie.
Restez avec les mots. Restez avec les faits. Vous avez perdu votre emploi. Vous ne l'avez plus. C'est tout ce que vous savez. C'est tout ce que cela signifie.
Si votre maison a été perdue, votre maison a été perdue. Maintenant, vous poserez votre tête ailleurs pour dormir.
Beaucoup de ce qui vous afflige est lié à l’ego, bien-aimés. C'est ainsi.
Et si, dans le monde, perdre votre maison, votre travail, était une chose souhaitable, comment vous sentiriez-vous alors? Si c’était souhaitable, tout le monde voudrait être à votre place. Et si cette perte faisait de vous une étoile, vous sentiriez-vous malheureux, alors?
Traduit par Christine
Page originale :
http://www.heavenletters.org/get-used-to-happiness.html